Chapitre 2 : Première amourette
Je suis actuellement en terminale ES au lycée Condorcet. Je suis une fille qui me débrouille pas mal en cours, j'ai des notes correctes et parle français comme une française pure et dure et non un français remixé, malgré que je sois une ghetto girl.
Mon lycée se trouve à 2 pas de chez moi, on va dire que c'est pas plus mal, j'arrive toujours en retard , et j'ai toujours habité près de mes établissements donc j'ai pas à me plaindre.
J'étais au Collège Montaigne ya 3 ans passé (le temps passe vite), ou j'ai obtenu mon brevet, de toute façon j'avais pas trop le choix, je tenais pas à mourir aussi jeune, mon père n'a aucune pitié niveau étude, c'est soit je travaille soit il me tue, les 2 seules solutions qu'il a trouvé pour moi.
Ma première expérience amoureuse s'est faite au Collège, bon on va dire que c'est le seul endroit ou j'aurai pu rencontrer quelqu'un, à 12 ans c'est pas l'âge où je sortirai en boîte pour trouver un mec.
D'ailleurs, les meilleures rencontres se font souvent dans les lieux que tu fréquentes H24 donc moi ya pas à chercher loin c'est l'école.
Quand j'étais en 6e je faisais partie d'une chorale qui était gérée par ma prof de musique. C'est là que j'ai rencontré un mec, un renoi bien sur, faut même pas se poser la question. Bon oui, je dois vous avouer que je ne suis attirée que par les renois. Je ne suis pas raciste mais sortir avec un babtou c'est même pas la peine et un reubeu encore moins, pourtant je les aime bien.
Ce renoi fâché, tout noir, mais drôle que j'ai bien aimé (oui parce qu'être amoureux c'est différent, ça n'a rien à voir). On est sorti ensemble peut-être durant 2 semaines au total puisque sa mère n'était pas d'accord je crois, enfin c'était une excuse pour casser avec moi, j'ai toujours eu un problèmes avec les mecs je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, mais bon voilà ma première petite histoire sentimentale vécue a l'âge de 12 ans.
Pas top mais pas mal non plus.
Je dis ça parce que d'habitude à cet âge la, ya les "autres" qui n'ont aucune relation que ce soit amicale ou sentimentale, ces gens à part qu'on ne calcul pas, même qu'on n'en connaît même pas l'existence, les ado boutonneux ou les calculatrices (c'est comme ça qu'on les appelait auparavant). Mais je ne vous cache pas que j'aurai bien voulu, pendant cette période, encore jouer au Pokemon ou à la corde à sauter et à la marelle comme faisaient nos parents à leur époque. Mais bon, c'est pas plus mal, ça reste mes meilleures années après tout.
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